🐕 Pas De Bébés À La Consigne
LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle à une Mobilisation générale le 8 avril pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la petite enfance. CFDT - Pas de bébés à la consigne
lecollectif pas de bébés à la consigne adresse aux candidats à l‘élection présidentielle et aux élections législatives de 2022, ses 20 propositions pour une
Pas de bébés à la consigne » a donc décidé d’appeler à une journée nationale de grève contre la réforme Taquet des modes d’accueil le 2 février 2021. Nous appuyons cette démarche. Nous avons par ailleurs lu les objectifs que le secrétaire d’État à la famille se fixe pour l’année 2021 : FAIRE DE CETTE ANNEE UNE ANNEE UTILE ! Il a également
Pasde bébé à la consigne ! vendredi 12 mars 2010. Déferlante de la petite enfance pour le retrait du nouveau décret sur l’accueil collectif. Communiqué de presse. Le gouvernement n’entend pas notre voix Professionnels et parents, nous ne lâcherons pas ! Ce 11 mars 2010 marque la mobilisation d’une ampleur exceptionnelle des professionnels de la petite
Crééen 2009, le collectif « Pas de bébés à la consigne » ne veut plus attendre. En l’absence de mesures gouvernementales, le groupe a présenté ses propositions de réforme lors d’une conférence de presse à
Alorsque le ministre des solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées Damien Abad ne s’est toujours pas exprimé en direction des professionnels de la petite enfance, le collectif Pas de bébés à la consigne alerte les candidats aux élections législatives. Dans un communiqué publié hier, il exprime ses craintes sur la qualité
LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle à une Mobilisation générale le 8 avril pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la
Pasde bébés à la consigne reste mobilisé aux côtés des modes d’accueil et se tient prêt à les appeler à redescendre dans la rue dès les
Pasde bébés à la consigne 15 avril · Une journaliste de M6 enquête actuellement sur les dysfonctionnements signalés récemment dans des
Pasde bébés à la consigne. 15,185 likes · 6 talking about this. Pas de bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil de Facebook To connect with Pas de bébés à la consigne, join Facebook today.
Pasde bébés à la consigne ! Améliorer et développer les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants. Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du décret du 20 février 2007, relatif aux établissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi que l’école
Jemets donc à votre disposition la demande du collectif "pas de bébé à la consigne" au sujet du décret sur la petite enfance. Pour améliorer et développer les modes d' accueil et la scolarisation des jeunes enfants. Nous affirmons qu’une politique publique ambitieuse pour la petite enfance constitue un investissement pour l’avenir. Elle doit permettre à toutes les
Pasde bébés à la consigne : mise au point avant l'été Dans son tract de l'été dévoilé hier soir, Pas de bébés à la consigne annonce sa mobilisation à venir auprès des nouveaux élus. Gouvernement et groupes parlementaires vont devoir rendre des comptes ! Cela faisait un moment que le collectif n'avait plus donné de la voix
Lecollectif « Pas de bébés à la consigne », fort de 50 organismes représentatifs, syndicats, associations professionnelles, représentants des familles et des parents, organisations de défense des droits des femmes, demande l’ouverture immédiate de négociations auxquelles le gouvernement se refuse depuis des mois, pour le retrait du
Jeudi28 mars 2019, une soixantaine d'agents, salariés, professionnel.le.s de la petite enfance étaient rassemblé.e.s devant la Préfecture de Chambéry. Cet appel était à l'initiative du collectif "pas de bébé à la consigne" qui appelait à un mouvement national. Le collectif CGT petite enfance a organisé ce rassemblement afin de protester contre la réforme des
HzkC. De nombreuses crèches seront en grève demain jeudi 11 mars 2010. Une journée nationale d'action et de grève est lancée par le collectif "pas de bébé à la consigne" pour exiger un véritable plan d'urgence pour un accueil de qualité de la petite enfance. Voici les revendications de ce collectif ======================================== "Les tout-petits ont besoin de beaucoup d'attention pour grandir tranquillement, expérimenter le monde, pour devenir des adultes autonomes et épanouis. Nous craignons de ne plus pouvoir disposer demain de la meilleure disponibilité pour vos enfants et de ne plus répondre à votre attente. En effet des projets gouvernementaux inquiétants, concernant les crèches notamment, se profilent. Déjà il est imposé aux établissements de 60 berceaux d'accueillir 66 enfants dans les mêmes locaux, certains jours de la semaine. Demain ce chiffre sera porté à 72, avec les mêmes contraintes horaires et pas plus de moyens matériels ni de personnels. Augmenter le nombre de places en crèche est indispensable mais pas dans n'importe quelles conditions, pas n'importe comment et pas au détriment de la qualité de l'accueil des enfants présents. Parallèlement il est prévu moins de personnes diplômées1 auprès des enfants les professionnels les plus qualifiés passeraient de 50% à 40% de l'effectif. D'autres mesures en cours d'adoption ne garantissent déjà plus la qualité de l'accueil individuel ou collectif les nouveaux jardins d'éveil » pourront accueillir des enfants de 2 à 3 ans avec un adulte s'occupant de 12 enfants voire plus, alors que ce taux est aujourd'hui d'un adulte pour 8 enfants du même âge en crèche ; les assistantes maternelles agréées peuvent désormais s'occuper de 4 enfants au lieu de 3, et leur temps de formation initiale va être réduit de 60 à 30 heures. Il est clair que ces mesures remettent en cause la qualité de l'accueil. Nous voulons continuer à - accueillir l'enfant et ses parents avec attention et respect, - prendre le temps d'une relation individualisée avec l'enfant, - avoir une équipe formée disposant des compétences appropriées soin, éducation, éveil, sécurité affective, alimentation, hygiène, etc., sous la responsabilité d'une personne qualifiée et d'expérience, - organiser les réunions indispensables à la réflexion sur le travail de l'équipe, - répondre aux besoins spécifiques des enfants et de leurs parents rencontrant des situations particulières handicap, difficultés sociales, psychologiques ou économiques, horaires atypiques, ... Les financements actuels sont largement insuffisants pour couvrir tous les besoins. Les mesures prises et en prévision ne répondent qu'à une logique d'économies proposer plus de places en rognant sur l'existant. Le gouvernement a décidé par ailleurs d'inclure les modes d'accueil de la petite enfance dans le champ de la directive Services » ex-Bolkenstein. A terme les modes d'accueil seront mis en concurrence au profit du secteur marchand et les subventions publiques aux établissements risquent d'être supprimées. Les 200 000 places d'accueil annoncées par le gouvernement ont bien peu de chances de voir le jour ! C'est ensemble que nous sauvegarderons la qualité d'accueil des enfants, leur éveil, leur sécurité physique et affective. Nous vous appelons à participer avec nous à la journée nationale d'action et de grève du jeudi 11 mars pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif et pour exiger un véritable plan d'urgence pour un accueil de qualité de la petite enfance. Nous vous proposons de signer en ce sens une carte-pétition à l'adresse de Madame N. Morano, secrétaire d'Etat à la famille. Collectif Pas de bébés à la consigne » Mars 2010" ==================================== Si votre crèche est en grève et que vous recherchez une solution pour garder vos enfants, consultez les annonces de garde d'enfant et babysitting sur aladom.
Mars et mai 2019, janvier 2020, février 2021 par milliers, les de la petite enfance sont dans la rue pour s’opposer à la réforme des modes d’accueil. Mais le gouvernement n’a pas encore bien entendu notre protestation ! Nous refusons le calcul du taux d’encadrement qui conduirait à six bébés par professionnel, la prise en compte des apprentis dans ce taux, le ratio de 40/60 calculé en moyenne annuelle ». Nous refusons l’accueil en surnombre à 115 % tous les jours, huit heures par jour. Nous refusons 5,5 mètre carré seulement par enfant en zone dense. Nous refusons des directions sans expérience professionnelle pour jusqu’à quarante places en crèche. Nous refusons une demie heure seulement par mois d’analyse de pratique en crèche et rien de garanti pour les assistants maternels. Nous exigeons un taux d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants quel que soit l’âge et au moins 50% de professionnels les plus qualifiés en crèche. Nous exigeons une limite à 110 % avec une moyenne hebdomadaire de 100% des inscrits. Nous exigeons 7 mètres carré minimum par enfant garantis sur tout le territoire. Nous exigeons une expérience professionnelle pour diriger toute crèche. Nous exigeons de véritables temps utiles d’analyse de pratiques pour tous les professionnels des modes d’accueil. Nous exigeons aussi le maintien des micro‐crèches à dix enfants, l’élévation globale des niveaux de qualification des professionnels de l’accueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diplômante, l’alignement du coût restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode d’accueil. Pour ne pas grever l’avenir des bébés, nous appelons à la grève le 30 mars 2021 dans tous les modes d’accueil. » – Découvrez sur la carte ci-dessous l’ensemble des manifestations prévues partout en France. À Paris, le départ est prévu Place Denfert-Rochereau à 10h. Voir en plein écran – Plus d’informations sur le site et via l’événement facebook Crédit photo Le collectif Pas de bébés à la consigne
La CGT de la ville de Lyon tient à remercier tous les agents, les parents ainsi que les employés des crèches privées et associatives qui se sont mobilisés ce 28 mars à l’appel du collectif Pas de bébés à la consigne ». A la ville de Lyon 270 agents se sont déclarés grévistes, 3 crèches étaient fermées et 38 partiellement ouvertes sur les 52 que compte la ville, grâce entre autres au travail de terrain de la CGT. Malgré le succès de cette mobilisation, plus de 300 personnes présentes au rassemblement, celui-ci laisse un goût amer. La délégation reçue à la préfecture n’était pas représentative du collectif Pas de bébés à la consigne », étant composée uniquement de représentants syndicaux de la CFDT. Les militants CGT pourtant présents en nombre n’ont pas été conviés à rejoindre la délégation. A leur retour la délégation qui devait représenter le collectif, les représentants CFDT nous ont fait part de l’entretien et des revendications portées. Celles-ci ne vont pas le sens des revendications de Pas de bébés à la consigne ». La délégation s’est bornée à demander que l’ordonnance contre laquelle nous nous battons devienne une loi parce qu’une loi est amendable ». Nous avons été interpellés par de nombreux manifestants nous demandant si nous étions d’accord avec la déclaration citée. Pour nous, à la CGT, la sécurité de nos enfants, leurs conditions d’accueil, la dégradation des conditions de travail des agents et du service rendu sont trop graves pour résumer cette loi rétrograde à un simple problème législatif, quelle que soit la forme, ordonnance, décret ou loi, nous sommes et serons toujours contre. Cette réforme rétrograde aura des conséquences sur la qualité d’accueil de nos enfants, du nombre d’enfants accueillis par mètre carré dans une crèche, du nombre de personnel prévu pour le taux d’encadrement. Nous continuerons à nous battre et mettrons tout en œuvre afin de rendre un service public de qualité partout et pour tous. Le 29 mars 2019
Petite enfance - "Pas de bébés à la consigne" toujours mobilisé Publié le 14 mars 2011 Social, Jeunesse, éducation et formation Quelques centaines de professionnels de la petite enfance ont fait grève et ont manifesté vendredi 11 mars en France, pour réclamer un "accueil de qualité" pour les tout-petits, une mobilisation qui a conduit à de nombreuses fermetures de crèches, notamment à Paris. A Paris, une délégation du collectif "Pas de bébés à la consigne" a été reçue au ministère. "Nous avons exposé notre plan d'urgence pour la petite enfance", qui porte des revendications comme le retrait du décret assouplissant les règles d'accueil, a indiqué à l'AFP Pierre Suesser au nom du collectif. "Nous avons convenu de nous revoir en avril", a-t-il ajouté. A Paris, sur 421 établissements, la mairie a recensé 136 fermetures et 75 ouvertures partielles avec un total de 417 grévistes sur personnels. Selon le collectif, 67 crèches sur 76 étaient fermées totalement dans le Val-de-Marne. Trente et une étaient totalement fermées, et 24 partiellement, sur 59 en Seine-Saint-Denis. A Bordeaux, environ 150 des quelque 500 salariés soit 34,30% de grévistes des 30 crèches étaient en grève, selon la mairie. Huit structures étaient totalement fermées et sept partiellement. A Nancy, 8 crèches sur 12 étaient fermées. A Strasbourg, 65 agents ont été recensés par la mairie comme grévistes, soit environ 45% des effectifs. A Lyon, d'après la mairie, 18 crèches étaient fermées vendredi, 10 étaient perturbées et 20 étaient ouvertes. La grève semblait moins suivie à Grenoble, avec, sur 33 crèches, trois fermées toute la journée, selon le Centre communal d'action sociale. Des rassemblements modestes ont rassemblé quelques dizaines de personnes à Annecy, Nancy ou encore Besançon. Depuis déjà plus d'un an, certains professionnels protestent contre le décret du 7 juin 2010 portant sur les établissements et services d'accueil des enfants de moins de 6 ans qui assouplit les règles d'accueil en crèche, en augmentant le taux maximal de personnels non qualifiés en remplaçant par exemple des auxiliaires de puériculture ou éducateurs par des CAP "Petite enfance" et en permettant aux crèches d'accueillir plus d'enfants. A l'issue de la rencontre de vendredi, le ministère a fait valoir dans un communiqué que l'une des priorités est bien "d'offrir une solution de garde de qualité aux parents en améliorant la capacité d'accueil des jeunes enfants", avec un objectif de 200 000 places d'accueil supplémentaires d'ici 2012, sachant que "par ailleurs, une réflexion est menée pour un bilan d'étape du plan Métier Petite Enfance de décembre 2008". Le ministère assure également qu'"à l'exception de la garde au domicile des parents, tous les modes d'accueil continueront de faire l'objet d'un contrôle et de normes de fonctionnement qui visent à en garantir la sécurité et la qualité"… et prend soin de relever que "ce sont les départements - conseils généraux et leurs services de protection maternelle et infantile - qui sont chargés d'agréer et de contrôler les crèches et les assistantes maternelles". Tout juste deux jours plus tôt, Roselyne Bachelot avait présenté en Conseil des ministres une communication relative à "la mise en œuvre à mi-parcours du plan de développement de la garde des jeunes enfants 2009-2012", qui rappelait là encore l'objectif de " solutions de garde individuelles et collectives supplémentaires en quatre ans" et indiquant que "concernant l'accueil collectif, environ places nouvelles ont été créées en deux ans", lesquelles "ont bénéficié à environ 46 000 enfants en 2009 et en 2010". En préambule de son "plan d'urgence", le collectif Pas de bébés à la consigne estime quant à lui qu'il manque "au moins 300 000 à 400 000 places pour l'accueil des tout petits". Et met l'accent sur le glissement sémantique souvent opéré entre "places" et "solutions d'accueil" et sur ce qu'implique la notion d' "amélioration du taux d'occupation". Dans ses propositions ou revendications, il insiste notamment sur la question de la formation et de la promotion professionnelle, sur "la création de nouvelles structures collectives publiques ou à but non lucratif" abondées par l'Etat, la Cnaf et les collectivités, ou encore sur le caractère préjudiciable du système de la prestation de service unique PSU de la Cnaf pour le financement de l'accueil collectif financement à "l'heure de présence".
pas de bébés à la consigne